Notre premier événement de l’année (selon le calendrier grégorien) propose généralement de la cuisine japonaise. Cette année n’a pas fait exception à la règle avec 80 membres et invités remplissant le restaurant « Eat at 7 » à Suntec City pour déguster des mets toujours favoris.

Nous avons débuté avec des cocktails au saké glacé et/ou du champagne Jacquesson « Cuvée 737 », accompagnés d’une sélection de canapés :
- Coupelles en algue garnies d’uni-ikura et de foie de lotte de mer
- Rouleau de vivaneau japonais avec garniture de bottarga
- Assiette de mochi frit avec mentai, caviar noir russe et uni

Le spectacle consistant à observer un Maître Cuisinier découpant habilement un thon rouge de 70 kg péché au large du Japon et expédié directement à Singapore s’est révélé être divertissant avant l’excellent dîner et l’anticipation a décuplé notre appétit et notre envie de déguster.

La chair était si tendre et délicieuse que tout le monde a été fortement impressionné. Ce ne sont pas des paroles en l’air ! Notre Bailliage local mène des enquêtes sur la qualité des aliments auprès des membres et le plat de sashimi issu des « filet, filet semi-gras et chair rouge fraîchement découpés de Thon rouge du Nord » été voté comme gagnant du Prix d’argent en 2016.

MENU

Spectacle de découpe de thon
akami, chutoro, otoro sashimi

Thon rouge japonais braisé
chutoro, œuf d’onsen

Huîtres japonaises avec tofu maison
et soupe épicée japonaise-coréenne

Pétoncle d’Hokkaido avec ise-ebi (langouste)
sauce crémeuse à la langouste

Rôti de bœuf Gunma Wagyu
miso, sauce soja sucrée, wasabi

Rouleau d’anago aux crevettes et au foie gras
riz aux truffes, sauce tempura au porto

Yuzu ramen clair au pouletCatalana de fraises amaou
mascarpone, crème grana padano

Pour accompagner ce festin japonais, nous avons dégusté, entre autre, d’excellents sakés Junmai Ginjo, y compris un Daiginjo, la qualité la plus élevée de saké où les grains de riz doivent être moulus à 50 % ou moins de leur taille d’origine. Il est préparé uniquement à base de riz, d’eau, de levure et de koji, sans aucuns autres additifs.

L’excellent whisky japonais (Hibiki 12 ans d’âge), très prisé de nos jours, a permis de terminer en beauté une merveilleuse soirée. Les conversations et les rires étaient la preuve que tous les convives étaient rassasiés sur le plan culinaire, mais aussi spirituel.

David S W Jen
Chargé de Presse