Le Bailliage a célébré la saison des fêtes dans le style classique de Washington lors d’une soirée de gala au Willard InterContinental Hotel, organisée par Markus Platzer, Maître Hôtelier et Directeur général de l’établissement.

Situé à deux pas de la Maison Blanche, le Willard est un haut-lieu de la capitale de la nation depuis 1818, date à laquelle un hôtel s’étendant sur six petites maisons de Pennsylvania Avenue a ouvert ses portes. L’établissement est devenu « The Willard » en 1847, tandis que l’édifice actuel a ouvert ses portes en 1901.

Des rénovations au milieu des années 1980 ont permis à l’hôtel de retrouver sa grandeur d’antan, à la mesure de son histoire légendaire : le Willard a accueilli tous les présidents américains depuis 1853, Abraham Lincoln a séjourné dans ces lieux les deux semaines qui ont précédé son investiture, et c’est ici que Martin Luther King, Jr. a rédigé son discours légendaire « I have a Dream », pour ne citer que quelques-uns des temps forts historiques.

Transportés dans une époque révolue par l’ambiance du Willard, et entièrement imprégnés de l’esprit des fêtes, 64 membres et invités se sont réunis dans la somptueuse Crystal Room pour assister à une réception au champagne et à un spectaculaire dîner de cinq plats préparé par le Chef-cuisinier Peter Laufer, Maître Rôtisseur.

Le Chef Laufer, aux côtés de son Chef-pâtissier Jason Jimenez et de leurs brigades, a ravi les participants avec une cuisine innovante exécutée à la perfection. Truffes de foie gras enrobées de chocolat, saumon de Patagonie salé au sirop d’érable et au sucre roux, et filet d’agneau cuit pendant huit heures faisaient partie des délices culinaires. Des vins de la cave du Bailliage se sont parfaitement accordés à chacun des plats.

Des mets et des vins d’exception, un service attentif, l’élégance du Willard à Noël et la camaraderie de la Chaîne autour de la table ont offert une combinaison parfaite pour susciter une joie festive parmi les convives.

William S. Babash
Vice-Chargé de Presse

Photos d’Arvin Photography, Judith Mazza, Allan Kam et Bill Babash